Category Archives: Google Africa Blog

Google Africa Blog

Investing in our teachers today for the students of tomorrow

Computer Science is increasingly being used to solve some of the world’s most complex and challenging problems. Today, learning to code is just as important as reading, writing and arithmetic. Knowledge of computer science is essential for the youth of Africa so that they have the opportunity to design and build the future tools that the world will use.

Since 2009, Google’s Computer Science for High School (CS4HS) programmes have helped over 20,000 teachers worldwide gain expertise in computer science (CS) and learn valuable skills for teaching CS to students. Despite these accomplishments, there’s still a long way to go in supporting teachers to understand the critical principles of CS education, as shown in recent research carried out by Gallup (and commissioned by Google).

Research drives why we invest in CS teacher professional development and informs the design of our programmes. We believe that regionally-based professional development is the best approach to meeting the specific needs of local teachers.That’s why we are encouraging colleges, universities, and educational nonprofits across Africa to apply for an award of up to $15,000 from the 2016 CS4HS Awards. We’re also looking to fund applications that include strong plans for the establishment of new or existing communities of practice. These communities will bring teachers together to encourage and support each other in their learning and ongoing professional development. 

Getting started with your application
Check out the eligibility requirements and then get started on your application. Applications will remain open until midnight (GMT), 15th February, 2016.

Stay Connected
Join the CS4HS Google+ community to connect with past CS4HS organizers and learn about HangOuts on Air we’ll be hosting during the application process.

Posted by Claire Conneely, CS4HS Program Manager, EMEA

====


Investir aujourd'hui dans les enseignants pour le étudiants de demain

De plus en plus, l'informatique permet de résoudre certains des problèmes complexes et épineux qui se posent au monde. Aujourd'hui, savoir programmer est devenu aussi important que savoir lire, écrire et compter. Il est donc essentiel pour la jeunesse africaine de connaître l'informatique pour pouvoir concevoir et bâtir les outils que le monde utilisera demain .

Depuis 2009, les cours de la CS4HS (Computer Science for High School) de Google ont aidé plus de 20.000 enseignants à travers le monde à enrichir leurs connaissances de l'informatique et à acquérir de précieuses compétences pour enseigner l'informatique aux étudiants. Malgré ces avancées, il reste encore beaucoup à faire pour aider les enseignants à maîtriser les principes essentiels de la pédagogie informatique, comme le révèle l'étude menée récemment par Gallup à la demande de Google.

Cette étude nous a confortés dans l'idée qu'il fallait investir dans la formation des enseignants informatiques et a orienté nos choix dans le contenu des programmes. Nous pensons qu'investir dans le développement professionnel au niveau régional est la meilleure approche pour répondre aux besoins spécifiques locaux des enseignants. C'est la raison pour laquelle nous encourageons les écoles, universités et organismes éducatifs à but non lucratif, à déposer leur dossier pour tenter de gagner jusqu'à 15.000 de dollars US à l'occasion des CS4HS Awards 2016. Nous entendons également apporter notre soutien aux candidatures solidement orientées vers l'établissement de communautés de pratiques nouvelles ou existantes. Ces communautés permettront aux enseignants de se réunir, de s'encourager mutuellement et de s'entraider dans leur apprentissage et leur développement professionnel.

Montez votre dossier de candidature
Consultez les conditions d'éligibilité puis montez votre dossier de candidatures. Le concours reste ouvert jusqu'au 15 février 2016 minuit (GMT).

Restez connectés
Rejoignez la communauté CS4HS Google+ pour vous mettre en contact avec les organisateurs des CS4HS précédents et en savoir plus sur les about HangOuts on Air que nous allons accueillir durant toute la durée du processus de candidatures.

Publié par Claire Conneely, CS4HS Program Manager, EMEA

Bringing Better Wi-Fi to Kampala with Project Link


Project Link started with a simple mission: to connect more people to high-quality broadband Internet. Our first step was to build a super-fast fiber network in Kampala that any mobile operator or Internet service provider can use to improve the quality of access and launch new services, such as 4G. By connecting the city to abundant capacity, which a dozen local providers are using today, Link’s fiber network is providing a foundation for better connectivity in Uganda’s capital.

Today, Project Link is building on this foundation by launching a Wi-Fi hotzone network to improve the quality and affordability of wireless access—a key need to meet the bandwidth demands of the Kampala’s growing number of mobile phone users.

As with our fiber network, our Wi-Fi hotzone network will equip mobile network operators (MNOs) and Internet service provider (ISPs) with infrastructure they need to deliver improved services to end users. We offer these local providers access to wireless infrastructure—Wi-Fi access points and supporting equipment—so they can deliver Wi-Fi services without having to make duplicate investments in costly infrastructure.

Our Wi-Fi network is available today at 120 sites in the busiest parts of the city, and we plan to expand to more in the coming year. Local providers can use this shared Wi-Fi infrastructure to bring Wi-Fi to people on-the-go at busy locations—like Seroma Shoppers Stop Plaza or Ben Kiwanuka Old Taxi Park. We are launching this service today with Roke Telkom, the first provider to offer Wi-Fi using Project Link hotzones. People can log into a Rokespot and access more ubiquitous, affordable access for their mobile device.
Project Link Wi-Fi hotzones are now available in Kampala’s busiest areas 

To help keep up with the demand for wireless bandwidth, we’re working with additional providers to launch similar Wi-Fi offerings. Local providers can also use our Wi-Fi hotzone network to offer wireless service in homes, cafes, and small business with a small transceiving device. Roke Telkom, as well as any future partners, will determine the specific speeds and costs of the service for end users.

As with our fiber network, the goal for all of these services is to make full, affordable, high-quality broadband access—including Wi-Fi—more available in Uganda’s largest city. The next time you find yourself on a busy street in Kampala, be sure to check out what new Wi-Fi services are available.

Posted by: Ela Beres, Access Associate


 ====


Améliorer le Wi-Fi à Kampala avec Project Link

Project Link avait au départ une simple mission : offrir à plus de monde un accès haut débit de qualité à Internet. Notre première tâche a consisté à installer la fibre à haut débit à Kampala, utilisable par tous les opérateurs mobiles et fournisseurs de services Internet pour améliorer la qualité d'accès et offrir de nouveaux services, tels que la 4G. En raccordant la ville à un réseau de grande capacité, qu'une dizaine de fournisseurs locaux utilisent aujourd'hui, le réseau fibre de Project Link a posé les fondations d'une meilleure connectivité dans la capitale ougandaise

Aujourd'hui, Project Link s'appuie sur cette capacité pour lancer un réseau de bornes Wi-Fi destiné à offrir un accès sans fil qui soit de meilleure qualité et plus abordable, condition indispensable pour répondre à la demande en bande passante de plus en plus d'utilisateurs de téléphones portables à Kampala.

Comme pour notre réseau fibre, notre réseau de bornes Wi-Fi dotera les opérateurs de réseaux mobiles et les fournisseurs de service Internet de l'infrastructure dont ils ont besoin pour offrir aux utilisateurs des services améliorés. Nous apportons à ces fournisseurs locaux un accès à l'infrastructure sans fil avec des bornes Wi-Fi et l'équipement nécessaire afin qu'ils puissent proposer des services Wi-Fi sans investir de leur côté dans des infrastructures onéreuses qui feraient doublons.

Notre réseau Wi-Fi est aujourd'hui disponible sur 120 sites dans les quartiers les plus fréquentés de la ville et nous prévoyons de l'étendre à d'autres quartiers l'année prochaine. Les fournisseurs locaux peuvent utiliser cette infrastructure Wi-Fi partagée pour offrir le Wi-Fi aux utilisateurs de passage dans des lieux fréquentés tels que le centre commercial Seroma Shoppers Stop Plaza ou au Ben Kiwanuka Old Taxi Park. Nous lançons ce service aujourd'hui avec Roke Telkom, le premier fournisseur à proposer le Wi-Fi via les bornes Project Link. Les utilisateurs peuvent se connecter sur une borne Roke et disposer sur une plus large zone d'un accès Internet abordable sur leur appareil mobile.

Pour répondre à la demande croissante en largeur de bande sans fil, nous travaillons avec d'autres fournisseurs, au lancement d'offres Wi-Fi similaires. Les fournisseurs locaux peuvent également utiliser notre réseau de bornes Wi-Fi pour offrir des services sans fil aux particuliers, aux cafés et aux petites entreprises par le biais d'un petit émetteur/récepteur. Il appartient à Roke Telkom, comme tous nos futurs partenaires, de décider du débit et du coût qu'il souhaite proposer aux utilisateurs pour leur service.

Comme avec le réseau fibre, l'objectif de ces services est de faire en sorte qu'un accès Internet complet, abordable, haute qualité et haut débit, notamment au Wi-Fi, soit plus largement disponible dans la plus grande ville d'Ouganda. La prochaine fois que vous vous trouverez dans une rue passante de Kampala, allez voir quels sont les nouveaux services Wi-Fi disponibles.

Publié par : Ela Beres, Access Associate

Buffering wheel, stand aside: Introducing YouTube offline in Nigeria, Kenya, and Ghana

Imagine trying to watch Mavin Records’s popular hit Dorobucci but the video buffers every five seconds. Or imagine only being able to watch the first minute of it, before stepping out of the WiFi zone at the mall.

Much of the countries in Sub Saharan Africa have proven themselves to be a part of the fast growing mobile-first world in terms of smartphone adoption, but access to high-speed, affordable data remains a big challenge. In response, we’ve been working on ways to lessen the demands of speed and data for people using our products in places where there are challenges to access.

Today we’re bringing offline playback to more countries including Nigeria, Kenya and Ghana. This feature lets you save many videos offline in the YouTube mobile app to watch later during periods of low or no internet connectivity. For videos where this feature is available, you can choose to save the video for offline viewing by tapping on the offline icon. Once saved offline, videos can be played without an Internet connection for up to 48 hours, so you can enjoy them without worrying about slow connections (music videos excluded).


Starting today, the majority of YouTube videos in these countries will become available for people to view offline, from movies to local comedy and unboxings. Making these popular videos available for offline playback will help people move past the challenges of data connection, speed and cost to enjoy a smooth, buffer-free version of their favorite content.

Offline playback is just a start. We working on even more ways to make video content more affordable and accessible to our growing base of mobile users in the region.

Matthew Darby, Product Manager


 ====


Fini de regarder tourner la roue d'attente : YouTube hors ligne fait son entrée au Nigeria, au Kenya et Ghana

Imaginez que vous êtes en train de regarder du clip vidéo Dorobucci de Mavin Records mais que la vidéo se met en attente toutes les 5 secondes. Ou imaginez seulement que vous avez pu regarder la première minute de la vidéo mais que vous venez de sortir de la zone Wi-Fi du centre commercial et que vous ne captez plus.

La plupart des pays d'Afrique sub-saharienne font partie de ceux qui sont passés massivement à la téléphonie mobile avec l'adoption des smartphones, sans pour autant pouvoir offrir un accès à des données abordables en haut débit. Pour y répondre, nous avons cherché des solutions pour réduire les besoins en débit et en données des utilisateurs de nos produits qui ne disposent pas d'un accès fiable et suffisant.

Aujourd'hui, nous étendons la fonction de lecture hors ligne à d'autres pays dont le Nigeria, le Kenya et le Ghana. Cette fonction vous permet de sauvegarder des vidéos hors ligne dans l'appli mobile YouTube et de les regarder plus tard lorsque vous n'avez pas ou peu de connexion à Internet. Vous pouvez ainsi choisir de sauvegarder une vidéo, si la fonction est disponible pour la vidéo en question, et de la regarder ensuite hors ligne en appuyant sur l'icône hors ligne. Une fois sauvegardées hors ligne, les vidéos peuvent être visionnées sans connexion Internet pendant 48H. Vous pouvez donc en profiter sans vous soucier de la qualité de la connexion (sauf vidéos de musique).

A partir d'aujourd'hui, la plupart des vidéos YouTube seront disponibles dans ces pays en lecture hors ligne, qu'il s'agisse de films, de comédies locales ou de vidéos de déballage ("unboxings"). Ainsi, les utilisateurs disposeront d'un moyen de passer outre les problèmes de connexion, de débit et de coût pour profiter pleinement de leur contenu préféré.

La lecture hors ligne n'est qu'un début. Nous travaillons sur d'autres moyens de rendre les contenus vidéo plus abordables et accessibles à la communauté grandissante des utilisateurs mobiles dans la région.

Matthew Darby, Manager Produit

Investing in Africa’s largest wind project

We’ve come a long way since we first started investing in renewable energy, committing more than $2 billion to 22 clean energy projects, and broadening our portfolio to include new regions like Africa. Since investing in the continent’s largest solar project, we’ve continued to see a big opportunity in fast-growing markets with rich renewable energy resources, where both the need and the potential are great. In fact, many countries are turning to renewables to help connect the nearly two-thirds of Africans that don’t have power today.

Today, we’re committing to invest in the Lake Turkana Wind Power Project in Northern Kenya, our second clean energy investment in Africa. When complete, Lake Turkana will bring 310 megawatts of clean energy onto Kenya’s grid—enough to power more than two million households across the country. Lake Turkana will help bring much needed capacity and stability to Kenya’s energy supply, reducing reliance on fossil fuels and emergency diesel generation while providing some of the most cost effective power in the country.

Google will join a diverse group of international investors in Lake Turkana, including the Overseas Private Investment Corporation, the U.S. government’s development finance institution, and Vestas, which is also supplying the turbines for the wind farm. We will purchase Vestas’ 12.5% stake in Lake Turkana once it comes online, becoming the first U.S. private investor to support the project.

Lake Turkana will use wind turbines like these, supplied by Vestas (photo courtesy of Vestas)

Kenya ranks among the world’s fastest-growing economies and has goals of universal energy access and increasing capacity of the grid by 5GW by the end of the decade. Lake Turkana can help meet these goals. It offers one of the best wind resources in the world in terms of speed and consistency, and once operational, will deliver capacity equivalent to about 15% of Kenya’s current grid. It will also spur additional energy development in the region through a 266 mile transmission line that is being constructed to support the project. This transmission line will act as a backbone for the Kenyan grid and enable further geothermal capacity to be developed in the country’s Rift Valley.

As an investor in both the largest solar photovoltaic (PV) and wind farm projects in Africa, we are as optimistic as ever about the potential for these investments to accelerate progress toward a future of clean energy. These efforts not only make business sense, they can help accelerate the deployment of renewable energy globally— including in emerging markets like Kenya, where there is an opportunity to have a transformative impact on the energy grid.

Posted by Rick Needham, Energy & Sustainability Director


 ====  


Investir dans le plus grand projet éolien d’Afrique

Nous avons parcouru beaucoup de chemin depuis notre premier investissement dans les énergies renouvelables, avec plus de 2 milliards de dollars investis dans 22 projets d'énergie propre et un portefeuille qui s'étend vers de nouvelles régions du monde telles que l'Afrique. Depuis que nous nous sommes engagés dans le plus vaste projet solaire du continent, nous restons persuadés que les économies en plein essor à fortes ressources en énergie renouvelable, représentent une formidable opportunité, parce que leurs besoins et leur potentiel sont immenses. En fait, de nombreux pays se tournent vers les énergies renouvelables pour essayer de raccorder pas moins des deux-tiers des africains qui n'ont pas accès à l'électricité aujourd'hui.

Aujourd'hui, nous nous engageons dans le projet éolien Lake Turkana Wind Power Project au nord du Kenya, notre deuxième projet d'investissement en énergie propre en Afrique. Une fois terminé, le projet Lake Turkana générera 310 mégawatts d'énergie propre au réseau kenyan, suffisamment pour alimenter en électricité plus de deux millions de foyers à travers le pays. Le projet de Lake Turkana contribuera à apporter la stabilité et la capacité en approvisionnement énergétique dont le Kenya a tant besoin, réduisant du même coup la dépendance aux énergies fossiles et le recours aux groupes électrogènes tout en produisant l'électricité la plus rentable du pays.

Pour ce faire, Google se joindra à un groupe d'investisseurs internationaux engagés dans le projet Lake Turkana, dont l'OPIC (Overseas Private Investment Corporation), l'institution financière de développement du gouvernement américain, et Vestas, qui fournit également les turbines du parc éolien. Lorsque le projet sera opérationnel, nous rachèterons les 12,5% de part de Vestas dans le projet Lake Turkana, et deviendrons de fait le premier investisseur privé américain impliqué dans le projet.

Le Kenya, qui fait partie des économies qui affichent le plus fort essor dans le monde, s'est donné un double objectif : disposer d'un accès universel à l'énergie et augmenter la capacité de son réseau de 5 gigawatts d'ici à la fin de la décennie. Le projet Lake Turkana peut l'y aider. En effet, le projet apporte l'une des meilleures ressources éoliennes au monde en termes de rapidité et de régularité et fournira, une fois opérationnel, une capacité équivalente à environ 15 % du réseau kenyan actuel. Ce projet, qui suppose la construction d'une ligne de transmission de 428 km, devrait également enclencher une dynamique de développement énergétique dans la région : la ligne de transmission servira d'épine dorsale au réseau kenyan et permettra de développer la capacité géothermique dans la vallée du Rift du pays

En tant qu'investisseur dans les plus grands projets solaires photovoltaïques (PV) et éoliens d'Afrique, nous sommes plus optimistes que jamais quant au potentiel de ces investissements à accélérer le progrès vers un avenir énergétique propre. Ces efforts ne constituent pas seulement une opération commerciale rentable, ils ont aussi pour vocation d'accélérer le déploiement des énergies renouvelables à travers le monde, notamment dans les économies émergentes telles que le Kenya, où ces projets peuvent avoir un fort impact en termes de transformation du réseau énergétique.

Publié par Rick Needham, Directeur, Énergie et Développement durable

Kenya’s cultural heritage is becoming universally accessible

From the heroes of Kenya, to the carvings and sculptures of the Shona of Zimbabwe, the Makonde of Tanzania and the Karamojong of Uganda to the calabash artwork of West Africa, internet users can now explore the diversity and richness of Africa’s culture and heritage on their desktop and mobile devices.

We’ve partnered with the Kenya National Archives & Documentation Centre to extend its efforts to preserve Africa’s cultural heritage. The result is the outcome of one of Google Cultural Institute’s biggest digitization projects on the continent. Today we’re launching 8 curated exhibits and more than 1,000 items on our platform.

Mashujaa Wetu
Kenya has her own heroes; men and women who cannot be forgotten because they made her who she is today.


Image and the exhibit here.

One highlight is the launch of the Mobile App of the National Archives of Kenya which provides access to a rich trove of rare artifacts, documents, and important stories to users. This is the first partner app in Kenya built with Google Cultural Institute technologies, and the third in Africa. With the launch of this App we intend to help more people understand what makes Africa such an amazing continent.

Mobile App available for download here.

African Carvings
They are carvings of wood, stone and metal most of which are showcased here.



Whether it’s highlighting the history of Lagos, helping the world retrace the steps of Nelson Mandela or preserving the diversity of dazzling african ceremonies, Google’s Cultural Institute is helping to preserve and tell the story of Africa on a global scale. We are excited that users will be able to easily access these, and more, artefacts, stories and history of Kenya and the continent.

Posted by Charles Murito, Google Kenya Country Manager



====  


Le patrimoine culturel du Kenya désormais universellement accessible

Des héros kenyans, aux sculptures d’art Shona au Zimbabwe, Makondé en Tanzanie et Karamojong en Ouganda en passant par l’art de la calebasse en Afrique de l’Ouest, les internautes peuvent désormais découvrir la diversité et la richesse du patrimoine culturel de l’Afrique depuis leur ordinateur et leurs appareils mobiles.

Nous nous sommes associés au Kenya National Archives & Documentation Centre (Centre national des archives et de la documentation du Kenya) afin de poursuivre les efforts de préservation du patrimoine culturel africain. Le projet de numérisation réalisé sous l’égide du Google Cultural Institute constitue l’une des initiatives les plus importantes lancées sur ce continent. Nous inaugurons aujourd’hui 8 expositions auxquelles s’ajoutent la présentation de plus de 1 000 objets sur notre plateforme.

Mashujaa Wetu

Le Kenya a ses héros, ces hommes et ces femmes qui sont restés dans la mémoire collective, car ils ont façonné le pays que l’on connaît aujourd’hui. Image et Exhib ici.

Élément majeur de ce projet, le lancement de l’Application mobile des National Archives of Kenya (Archives nationales du Kenya) qui permet aux utilisateurs d’avoir accès à un véritable trésor comprenant des artefacts et des documents rares ainsi que des récits de grande valeur. Il s’agit là de la première application partenaire, la troisième en Afrique, réalisée au Kenya grâce aux technologies du Google Cultural Institute. Grâce au lancement de cette application, notre but est d’aider un plus grand nombre de gens à comprendre ce qui fait de l’Afrique un continent d’exception.

Sculptures africaines
Il s’agit de sculptures en bois, en pierre et en métal dont la plupart sont exposées ici :

Que ce soit pour illustrer l’histoire du Lagos, vous aider à marcher sur les pas de Nelson Mandela ou préserver la diversité éblouissante des cérémonies africaines, le Google’s Cultural Institute a pour mission de préserver et de raconter l’histoire de l’Afrique au monde entier. Nous nous réjouissons à la perspective que les internautes puissent accéder facilement à ces artefacts, à ces récits et à bien plus encore ainsi qu’à l’histoire du Kenya et de ce continent.

Publié par Charles Murito, Directeur pays, Google Kenya

Bringing fast, affordable broadband to Ghana with Project Link

When it comes to Internet access, a basic connection is useful— but it’s abundant, affordable broadband that can transform communities and help people make the most of opportunities online. Take the Research and Education Network of Uganda (RENU), which provides infrastructure to connect universities across the country. Using capacity provided by Google’s Project Link, RENU has been able to make its network faster, more reliable, and better equipped to enable the easy exchange of ideas, remote research, and academic collaboration.

Since we first announced Project Link in Uganda, our work with partners like RENU has shown us what's possible, and we want to see more. That’s why today, we are expanding Project Link to Ghana, our first country in West Africa, so that we can work with local Internet service providers (ISPs) and mobile network operators (MNOs) to bring fast, reliable broadband to more people across the continent.

A map of the metro fiber network that we plan to build throughout Accra.

While undersea cables reach the coasts, the challenge remains to bring abundant bandwidth closer to Internet users in Ghana’s largest cities—Project Link aims to fill this gap in local infrastructure. Across Accra, Tema, and Kumasi, Project Link will build more than 1,200 kilometers of fiber to connect local ISPs and MNOs to metro-area fiber networks. By giving them more speed and capacity to work with, providers can meet the growing bandwidth demands of Ghana’s mobile phone users, schools, and businesses.

Entrepreneurs at Ghana’s Meltwater Entrepreneurial School of Technology (MEST). MEST provides resources for aspiring technology entrepreneurs.

Since we launched Project Link in Kampala, we’ve built over 700 kilometers of fiber across the city. Now, we are working with a dozen local ISPs and MNOs, such as Vodafone Uganda and One Solutions, to improve the quality of Internet access in Uganda’s capital. Providers have been able to expand new services, such as 4G, and deliver speeds that can support the best of the Web. Local startups like Fezah and Laboremus are taking advantage of these new offerings so that they can use the latest technologies to scale.

In Ghana, we’ll be building in multiple cities at once for the first time, with plans to grow the network to nearly twice the size of our first network in Kampala. We’ve already started construction in Accra, with Kumasi to follow soon, and we plan to start service in early 2016. There’s a lot of work ahead, but we look forward to working with local providers to ensure that Ghana’s local infrastructure can help its people and businesses participate fully on the Web and be inspired by what they can do online.

Posted by Estelle Akofio-Sowah, Google Ghana Country Manager


 ====


Un accès à Internet rapide et abordable pour les ghanéens avec Project Link

Pour accéder à Internet, il suffit d’une connexion basique. Mais pour vraiment transformer des communautés et tirer parti des opportunités qui s’offrent en ligne, il faut disposer d’une large bande passante à un prix abordable. Prenez le cas du Réseau national d’éducation et de recherche de l’Ouganda, le RENU (National Research and Education Network), qui fournit l’infrastructure pour connecter toutes les universités du pays. Le RENU a réussi à améliorer son impact en utilisant la capacité apportée par Project Link. Aujourd’hui, son réseau est plus rapide, plus fiable et mieux équipé pour faciliter l’échange d’idées, les recherches à distance et la collaboration universitaire.

C’est avec des partenariats comme celui du RENU que nous commençons à voir ce qu’il est possible de réaliser grâce à l’initiative Project Link que nous avons lancée en Ouganda. Aujourd’hui notre équipe Accès et énergie est en train d’étendre cette initiative au Ghana, notre deuxième pays. Nous allons travailler avec les fournisseurs de services Internet (ISP) et les opérateurs de réseaux mobiles (MNO) locaux pour apporter une bande passante fiable et rapide à de plus en plus de monde à travers le continent.

De même, si les câbles sous-marins permettent d’atteindre les côtes, il faut encore trouver le moyen d’acheminer une bande passante suffisante jusqu’aux internautes des grandes villes du Ghana. L’initiative Project Link est là pour combler ce manque d’infrastructure locale : Project Link va installer à travers Accra, Tema et Kumasi, plus d’un millier de kilomètres de fibres pour raccorder les ISP et les MNO locaux à la fibre longue distance. Avec plus de débit et de capacité, les fournisseurs vont pouvoir répondre à la demande grandissante en bande passante des utilisateurs de téléphones mobiles, écoles, entrepreneurs et concepteurs du Ghana.

Depuis le lancement de Project Link à Kampala, nous avons installé plus de 700 kilomètres de fibres et travaillons aujourd’hui avec une dizaine de ISP et de MNO locaux, dont Vodafone Uganda et One Solutions, dans le but d’améliorer la qualité de l’accès à Internet à travers la ville. Les fournisseurs ont ainsi pu élargir leur offre avec de nouveaux services tels que la 4G et assurent désormais des débits suffisants pour donner accès au meilleur du Web. Des start-ups locales telles que Fezah et Laboremus se sont emparées de ces nouvelles offres pour tirer parti des toutes dernières technologies, collaborer à distance et se développer efficacement.
Cette année, nous avons entamé la construction du réseau Project Link au Ghana avec pour objectif de le mettre en service début 2016. Les concepteurs et entrepreneurs ghanéens ont déjà réussi à tirer parti de ce qu’ils pouvaient faire en ligne, mais ils ne peuvent pleinement exploiter le potentiel du Web du fait de la lenteur et de l’instabilité de l’accès à Internet. Avec Project Link, nous entendons bien changer cela.

Publié par Estelle Akofio-Sowah, Responsable Pays Google Ghana

Walk alongside the elephants of the Samburu National Reserve in Street View

Today for the first time, we’re releasing Street View imagery of Kenya—including the Samburu National Reserve, Lewa Wildlife Conservancy and the David Sheldrick Wildlife Trust—in partnership with Save the Elephants and with the support of the Samburu County Government. We'll let Save the Elephants' David Daballen take it from here. -Ed.

It’s a wild life at the Save the Elephants research camp in Samburu, in the heart of northern Kenya’s wilderness. For the last 15 years at Save the Elephants, I’ve spent my days among the elephants, working alongside my fellow Samburu people to study and protect them. Research shows that 100,000 elephants across Africa were killed for their ivory between 2010-2012, but thanks to our work in the Samburu National Reserve their numbers are now slowly increasing. Today, a visit to Samburu is a chance not only to see these magnificent creatures in their natural habitat, but also discover a uniquely beautiful landscape where people’s lives are interwoven with the landscape’s wildlife. It’s my honour to invite you on a journey to my homeland with Street View in Google Maps.



Every time I drive into the Reserve, I can see the trust on the elephants’ faces and feel a warm welcome. When I’m out and about, I never know which of my fellow citizens I’ll bump into next. It could be some of the 600+ elephants I can recognize—like the Hardwood family—frolicking together, a group of Samburu warriors walking along the Ewaso Nyiro River, a pride of lions enjoying a bit of shade, or a leopard crossing the path. While you make your journey through Street View, you may be surprised what awaits.


South of Samburu, up into the hills of Kenya, the Lewa Wildlife Conservancy awaits exploration. In this greener landscape, you can cross the open savannah, where animals like zebras and rhinoceroses live protected from poachers and hunters. Every day, the Lewa radio command center plots the movements of elephants (and other GPS-collared wildlife) onto Google Earth to help rangers determine where elephants are and when they might be in danger. If an elephant’s GPS collar sends an alert to indicate the elephant has stopped moving, a team of rangers and tracking dogs will investigate. Save the Elephants was one of the first organizations to use this technology, having collared 266 elephants across Africa since 1998.


Visiting the David Sheldrick Wildlife Trust, you can see the devastating effect of poaching and other causes of elephant deaths in Kenya. Founded in 1977, the Trust provides lifesaving assistance to wild animals in need, including orphaned elephants and rhinos. At their Elephant Orphanage in Nairobi, elephant caretakers stand in for an elephant’s lost family, providing 24/7 care and specially formulated milk. As the orphans grow, they are gradually reintegrated back into the wild, where they are protected by the charity’s Anti-Poaching and Aerial Surveillance Teams. To date, the David Sheldrick Wildlife Trust has hand-raised more than 180 orphaned infant elephants, including little Sokotei, who I helped to rescue in Samburu after his mother died of natural causes when he was six months old. He’s just one elephant amid thousands that have been lost across the continent, but when you're up against a challenge of this scale, every elephant counts.

 

I hope this glimpse into life in Samburu has inspired you to learn more about elephants’ plight and how you can help. Samburu is my home and is full of life. To ensure it remains that way, please consider supporting the research of Save the Elephants, making a donation to the anti-poaching efforts of Lewa Wildlife Conservancy, or fostering an orphaned elephant at the David Sheldrick Wildlife Trust. After exploring in Street View, come and see us here in Kenya in person—we’d love to have you!

Posted by David Daballen, Head of Field Operations at Save the Elephants


====


Promenez-vous avec les éléphants de la Réserve nationale de Samburu avec Street View

Aujourd'hui et pour la première fois, nous publions des images du Kenya avec Street View, notamment de la Réserve nationale de Samburu, du Lewa Wildlife Conservancy et du David Sheldrick Wildlife Trust, en partenariat avec l'association Save the Elephants et avec le soutien du Samburu County Government. Passons maintenant la parole à David Daballen de l'association Save the Elephants. -Ed.

Le the Save the Elephants research campà Samburu est situé au beau milieu de la faune sauvage, au cœur de la nature vierge du nord du Kenya. J’ai passé ces 15 dernières années aux côtés de l'association Save the Elephants, à étudier et protéger les éléphants avec mes collègues de Samburu. Nos recherches ont montré qu'entre 2010 et 2012, 100 000 éléphants ont été tués pour leur ivoire à travers toute l'Afrique. Grâce au travail que nous avons réalisé à la Samburu National Reserve, ces chiffres commencent à lentement diminuer. Aujourd'hui, visiter Samburu vous donnera l'occasion non seulement d'observer ces magnifiques créatures dans leur habitat naturel, mais aussi de découvrir des paysages d'une beauté extraordinaire où la vie des communautés est étroitement liée à celle de à la faune sauvage. C’est pour moi un honneur de vous inviter à visiter mon pays avec Street View in Google Maps.

Chaque fois que je fais un tour dans la Réserve, je peux lire dans les yeux des éléphants qu’ils se sentent en confiance et que je suis le bienvenu. Quand je me promène, je ne sais jamais qui je vais rencontrer ce jour-là : ce peut être l'un des quelque 600 éléphants que je suis capable de reconnaître, comme la the Hardwood family, en train de s'ébattre joyeusement, ou bien un groupe de guerriers Samburu marchant le long de la rivière Ewaso Nyiro, une horde de lions profitant de l'ombre, ou encore un léopard traversant la piste. Lorsque vous parcourrez les images sur Street View, attendez-vous à être surpris par ce que vous y découvrirez.

Au sud de Samburu, en haut des collines du Kenya, le Lewa Wildlife Conservancyne demande qu'à être exploré. Dans ces paysages verts, vous traverserez de grandes étendues de savane où des animaux comme les zèbres et les rhinocéros vivent protégés des braconniers et chasseurs. Chaque jour, le Centre de commande de radio Lewa suit les mouvements des éléphants (et d'autres animaux sauvages dotés d'un collier GPS) sur Google Earth pour permettre aux rangers de déterminer où se trouvent les éléphants et où ils pourraient potentiellement être en danger. Si le collier GPS d'un éléphant envoie une alerte pour signaler que l'éléphant a cessé de bouger, une équipe de rangers et de chiens de pistages chercheront à savoir pourquoi. L'association Save the Elephants a été l'une des premières organisations à utiliser cette technologie : 266 éléphants ont été équipés d'un collier en Afrique depuis 1998

En visitant le David Sheldrick Wildlife Trust, vous pourrez constater les effets dévastateurs du braconnage ainsi que les autres causes de décès des éléphants au Kenya. Créé en 1977, ce Trust offre une assistance aux animaux sauvages en détresse ou en danger de mort, y compris les petits éléphantaux et rhinocéros orphelins. À l’orphelinat des éléphants de Nairobi, les gardiens d'éléphants se relaient auprès d'éléphanteaux ayant perdu leur famille en leur apportant des soins 24h sur 24 et 7 jours sur 7 ainsi que du lait spécialement formulé. À mesure que les petits orphelins grandissent, ils sont réintégrés petit à petit à leur environnement naturel où ils bénéficient ensuite de la protection des équipes anti-braconnage et de la surveillance aérienne de l'association caritative. À ce jour, le David Sheldrick Wildlife Trust a élevé au biberon plus de 180 éléphanteaux orphelins, y compris le petit Sokotei, que j'ai aidé à sauver à Samburu, après que sa mère soit morte de causes naturelles alors qu'il n'avait que six mois. Il s'agit juste d'un éléphant parmi des milliers d'autres disséminés sur l'ensemble du continent, mais quand vous avez pris le parti de relever un défi de cette taille, chaque éléphant compte.

J'espère que ce petit aperçu de la vie à Samburu vous aura donné l'envie d'en savoir plus sur les éléphants en détresse et de quelle manière vous pouvez les aider. Samburu, c'est chez moi, et c'est un lieu plein de vie. Pour garantir que les choses resteront telles qu'elles sont, n'hésitez pas à soutenir les recherches réalisées par l'association Save the Elephants en faisant un don pour renforcer les campagnes contre le braconnage de la Lewa Wildlife Conservancy, ou en parrainant l'un des éléphanteaux orphelins du David Sheldrick Wildlife Trust. Après avoir exploré les lieux avec Street View, venez nous voir en vrai au Kenya : nous serions ravis de vous accueillir !

Publié par David Daballen, Directeur des opérations de terrain à l'association Save the Elephants

Sawubona! Google for Nonprofits launches in South Africa, Kenya and Botswana.

For most nonprofit organizations (NGOs) around the world, the web is a vital platform for improving visibility, raising awareness, and connecting with their stakeholders, donors and volunteers. Often, one of the big decisions relates to the need to spend to acquire technology when there are so many competing demands for funding and resources.

Take, for example, South Africa. A 2009 report noted that most NGOs in South Africa are under-resourced. Their access to internet and technology tools is limited - mostly due to lack of funding. Also, lack of understanding of how to use web technologies means that they often end up paying huge amounts of money for proprietary software, which they may not use or even need. Many non profit organizations find it hard to incorporate the web into their day-to-day work and operations.



So we’re excited to announce our collaboration with TechSoup Global to bring Google for Nonprofits (G4NP) to South Africa! From today, South African NPOs that are registered with the Department of Social Development can now apply to join the programme, which provides access to a suite of free products and tools, including:
  • Google Ad Grants: Free AdWords advertising (up to USD $10,000 per month) to promote their websites on Google through keyword targeting.
  • Google Apps for Nonprofits: Free version of the Google Apps business productivity suite (Gmail, Docs, Forms, Calendar and more), so they can run their email and important documents in the cloud and work collaboratively on documents while dramatically reducing IT costs.
  • YouTube for Nonprofits: With premium branding capabilities on YouTube channels, and increased uploading capacity.
We know that many nonprofits require hands-on help to optimize the use of the web and Google tools. So earlier this year, we launched the Google Academy for NGOs in South Africa, where we hosted a series of workshops in South Africa, training nonprofits on how to harness the power of the web to work smarter and better. We met with more than 130 NGOs from Gauteng, Eastern Cape, KwaZulu-Natal and the Western Cape, working on a range of issues such as youth empowerment, breast cancer awareness, gender equality, democracy and good governance .

NGOs in South Africa are already leveraging Google's tools for nonprofits with amazing results. The Smile Foundation, which helps fundraise for reconstructive surgery for children with cleft and lip palate, used G4NP tools to grow referrals to their website, increase online donations, and promote their organi
zation to brands and companies for fundraising partnerships.

We’re inspired and humbled by stories showing how nonprofits can make positive changes around the world using our tools. If you work for a nonprofit, apply today to see how we can help your organi
zation grow and make even more impact.

You have a choice of three languages to use when signing up: English, isiZulu and Afrikaans.

As well as South Africa, the Google for Nonprofits programme is also available in Kenya and Botswana.

Posted by Fortune Mgwili-Sibanda, Manager: Public Policy and Government Relations (South Africa)


==== 



Sawubona ! Lancement du programme Google pour les associations en Afrique du Sud, au Kenya et au Botswana

Pour la majorité des associations à but non lucratif à travers le monde, Internet constitue une plateforme indispensable pour accroître leur visibilité, sensibiliser le public et communiquer avec leurs partenaires, les donateurs et les bénévoles. Le plus souvent, les décisions importantes sont liées à la nécessité d’engager des dépenses pour acquérir des outils technologiques alors que les associations font face à des demandes de financement et de ressources multiples et variées.

Prenons l’exemple de l’Afrique du Sud. Un rapport publié en 2009 montrait que la plupart des ONG sud-africaines disposaient de ressources insuffisantes. Ces dernières n’ont qu’un accès limité à Internet et aux outils technologiques - qui s’explique en grande partie par le manque de moyens. De plus, le manque de connaissances dans l’utilisation des technologies Internet se traduit souvent par le fait qu’elles consacrent des sommes élevées à l’achat de logiciels propriétaires dont elles n’ont parfois même pas l’utilité. De nombreuses associations à but non lucratif ont des difficultés à intégrer Internet dans les tâches et les opérations au quotidien.

Nous sommes donc très heureux d’annoncer notre collaboration avec TechSoup Global afin de mettre en place Google pour les associations (G4NP) en Afrique du Sud ! À partir d’aujourd’hui, les ONG sud-africaines qui sont enregistrées auprès du Department of Social Development peuvent déposer une demande afin de participer à ce programme qui va leur permettre d’accéder à une gamme de produits et d’outils gratuits, notamment :
  • Google Ad Grants : Des annonces AdWords gratuites (dans la limite de 10 000 $ par mois) pour promouvoir leurs sites Web sur Google en utilisant le ciblage par mots clés.
  • Google Apps pour les associations : La version gratuite de la suite Business Productivity Google Apps (Gmail, Docs, Forms, Calendar and more), qui permet de gérer le courrier électronique et les documents importants dans le cloud et de travailler sur des documents et ainsi de réduire considérablement les coûts des TI.
  • YouTube pour les associations : Cet outil offre des possibilités de branding sur les canaux YouTube et une capacité de téléchargement accrue.
Nous savons que de nombreuses associations ont besoin d’une assistance pratique pour optimiser l’utilisation du web et des outils Google. C’est la raison pour laquelle nous avons lancé cette année en Afrique du Sud la Google Academy for NGOs ce qui a permis d’organiser plusieurs ateliers dans ce pays et de former les associations afin qu’elle puisse exploiter la puissance d’Internet pour travailler plus intelligemment et plus efficacement. Nous avons rencontré les ONG dans le Gauteng, la province du Cap-Oriental, le KwaZulu-Natal et la province du Cap-Occidental.

Les ONG basées en Afrique du Sud utilisent déjà les outils Google pour les associations et les résultats sont exceptionnels. La Smile Foundation, qui collecte des fonds afin de financer des opérations de chirurgie reconstructive pour des enfants atteints de fente labiale ou palatine, a utilisé les outils Google pour les associations pour intensifier le trafic vers son site Internet, augmenter les dons en ligne et promouvoir sa association auprès de marques et d’entreprises en vue de conclure des partenariats de financement.

Les témoignages montrant comment les associations à but non lucratif peuvent changer le monde grâce à nos outils sont une source d’inspiration et nous donne un sentiment de grande humilité. Si vous travaillez pour une association à but non lucratif, inscrivez-vous dès aujourd’hui pour voir comment nous pouvons vous aider à développer votre association en renforçant son impact.

Lors de l’inscription, trois langues vous sont proposées : l’anglais, l’isZulu et l’afrikaans.

En dehors de l’Afrique du Sud, le programme Google pour les associations est également disponible au Kenya et au Botswana.

Publié par Fortune Mgwili-Sibanda, Responsable : Relations gouvernementales et affaires publiques (Afrique du Sud)

Google’s look, evolved

Google has changed a lot over the past 17 years—from the range of our products to the evolution of their look and feel. And today we’re changing things up once again:



So why are we doing this now? Once upon a time, Google was one destination that you reached from one device: a desktop PC. These days, people interact with Google products across many different platforms, apps and devices—sometimes all in a single day. You expect Google to help you whenever and wherever you need it, whether it’s on your mobile phone, TV, watch, the dashboard in your car, and yes, even a desktop!

Today we’re introducing a new logo and identity family that reflects this reality and shows you when the Google magic is working for you, even on the tiniest screens. As you’ll see, we’ve taken the Google logo and branding, which were originally built for a single desktop browser page, and updated them for a world of seamless computing across an endless number of devices and different kinds of inputs (such as tap, type and talk).

It doesn’t simply tell you that you’re using Google, but also shows you how Google is working for you. For example, new elements like a colorful Google mic help you identify and interact with Google whether you’re talking, tapping or typing. Meanwhile, we’re bidding adieu to the little blue “g” icon and replacing it with a four-color “G” that matches the logo.



This isn’t the first time we’ve changed our look and it probably won’t be the last, but we think today’s update is a great reflection of all the ways Google works for you across Search, Maps, Gmail, Chrome and many others. We think we’ve taken the best of Google (simple, uncluttered, colorful, friendly), and recast it not just for the Google of today, but for the Google of the future.

You’ll see the new design roll out across our products soon. Hope you enjoy it!

Posted by Tamar Yehoshua, VP, Product Management & Bobby Nath, Director of User Experience



====


Google change de look

Google a beaucoup changé ces 17 dernières, nos services se sont enrichis et ont connu de nombreuses évolutions. Et ce n'est pas fini : l'heure du changement a de nouveau sonné.

Qu’est ce qui motive ce changement ? Il fut un temps où Google n’était qu’un site auquel on accédait depuis un ordinateur. Aujourd’hui, il existe une multitude de chemins qui mènent aux services Google, en passant par différents types de plates-formes et d’appareils. Nous nous sommes habitués à ce que Google apporte ses réponses où et quand nous l’interrogeons, que ce soit depuis un téléphone, une télé, une montre, sans oublier bien sûr depuis notre bon vieil ordinateur.

Aujourd’hui, nous présentons une nouvelle identité visuelle qui reflète cette réalité et vous permet de savoir quand vous utilisez les produits Google, même sur les écrans les plus petits. Le logo et la marque Google, conçus à l’origine pour une seule page Web sur ordinateur, peuvent désormais prendre vie sur toute sorte d’ appareils, que vous ayez interrogé Google sur votre clavier, à la voix, ou du bout des doigts.

Grâce à cette nouvelle identité visuelle vous savez non seulement que vous utilisez Google, et comment Google peut vous aider. Un micro Google coloré vous invitera par exemple à poser vos questions à voix haute. Nous faisons aussi nos adieux au célèbre “g” bleu de l’appli Google pour le remplacer par un symbole assorti au logo.

Ce n’est pas la première fois que nous changeons de look, et ce ne sera probablement pas la dernière. Nous pensons que le changement d’aujourd’hui reflète toutes les possibilités qui s’offrent à vous avec le moteur de recherche Google, Maps, Gmail, Chrome, et toutes nos autres applications. Nous avons pris tout ce que Google a de mieux (sa simplicité, sa clarté, ses couleurs, sa convivialité) et nous l’avons repensé avec un double objectif : l’adapter au monde d’aujourd’hui, et préparer le Google de demain.

Le nouveau design fera bientôt son apparition sur nos produits. Nous espérons que vous l’aimerez autant que nous.

Publié par Tamar Yehoshua, VP, Product Management, et Bobby Nath, Director of User Experience

Nairobi Transit directions now available on Google Maps

From today, every Nairobi resident and guests of the city can plan their route with Google Maps when using public transport. Working in collaboration with Digital Matatus, we have made bus & matatus (minibuses/ minivans used as public transport) routes information available to the public, for free, on maps.google.co.ke.

This new Transit feature on Google Maps will make it quick and easy for anyone within Nairobi to find the best route for wherever they're going, whether that's to the local park, or across Nairobi from Komarock to Kawangare.


This initiative is part of our mission to make Google Maps more comprehensive, more accurate and useful for millions of people around the world who use buses and matatus to reach the next destination. As a result of this close cooperation with Digital Matatus, Nairobi now joins the over 2800 towns and cities having this very useful and convenient feature, including Lagos, Johannesburg, Tokyo and Sydney. 


The Transit feature on Google Maps is free, and can be accessed either via the web browser, as well as the Google Maps app on both the Android and iOS platforms. To plan a journey simply click on the ‘Get Directions’ button in Google Maps, then click the ‘public transport’ icon before entering your place of departure and destination. We’ll calculate the quickest way for you to get from A to B and suggest the transport that most conveniently suits your time of travel.

Evans Arabu, Program Manager


 ====


Les itinéraires Nairobi Transit désormais disponibles sur Google Maps

À partir d’aujourd’hui, grâce à Google Maps, les habitants de Nairobi et les personnes de passage dans la capitale pourront planifier leurs itinéraires en transport en commun. En collaboration avec Digital Matatus, les informations concernant les itinéraires des bus et des matabus (minibus/ minivans utilisés pour les transports en commun) sont désormais accessibles gratuitement sur maps.google.co.ke.

Cette nouvelle fonctionnalité proposée sur Google Maps permettra à toute personne résidant à Nairobi de trouver rapidement et facilement le meilleur itinéraire, que ce soit pour se rendre dans le parc le plus proche ou pour traverser l’agglomération de Komarock à Kawangare.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de notre mission visant à faire de Google Maps un outil plus complet, plus précis et plus utile pour des millions d’usagers à travers le monde qui empruntent les bus et les matatus pour se déplacer. Résultat de la coopération étroite entre Digital Matatus et Google, Nairobi a rejoint les quelque 2 800 villes qui bénéficient déjà de cette fonctionnalité utile et pratique, notamment Lagos, Johannesburg, Tokyo et Sydney.

Google Transit est une fonctionnalité gratuite pour tous, disponible sur Google Maps à partir de votre navigateur web, ainsi que sur Google Maps pour mobile sur plateformes Android et iOS. Pour planifier un itinéraire, il suffit de cliquer sur le bouton « Itinéraire » dans Google Maps, puis de cliquer sur l’icône « Transport public » avant d’entrer votre lieu de départ et de destination. Le logiciel calcule l’itinéraire le plus rapide pour vous rendre du point A au point B et propose le moyen de transport le mieux adapté à votre temps de parcours.

Evans Arabu, Directeur du programme